Les Vacances 5: Le Séjour À L’Hôpital Est De Plus En Plus Agréable

Le lendemain je retrouve Christelle qu’en fin de journée, je suis déçu parce qu’en plus j’ai d’abord eu le droit à l’infirmière revêche qui a fait ma toilette et alors là rien affaire ma bite ne s’est pas du tout levée. Mais je suis content car ça veut dire qu’encore une fois elle va faire la nuit. C’est elle qui m’amène mon plateau repas du soir, elle rentre dans ma chambre avec un grand sourire et me dit:
« Bonsoir Mr Romain, alors encore une fois à midi vous n’avez presque rien mangé! Il faut vraiment faire un effort! »
Je proteste en lui disant que j’ai mangé un bout de poisson mais elle m’arrête en posant ses lèvres contre les miennes et me dit tout doucement:
« Si tu veux que je reviennes te rendre visite cette nuit tu dois reprendre des forces. »

Elle se redresse après m’avoir offert une jolie vue sur sa poitrine et sort de ma chambre en précisant qu’elle repassera dans une demie heure récupère mon plateau et que j’ai intérêt à ce qu’il soit vide. Christelle me fait un clin d’oeil et disparait derrière la porte. Je fais un effort et je mange de tout sauf la soupe, on est en plein mois d’août quand même! C’est une infirmière brune qui vient récupérer mon plateau, quand elle voit que j’ai bien mangé elle dit en rigolant:
« Christelle va être contente ».

J’essaye de rester réveiller mais vu le bruit incessant je préfère ne pas sonné et je finis par m’endormir sans avoir revu Christelle. Je ne sais pas quelle heure il est mais je suis réveillé par des caresses et des baisers, c’est bien agréable. Quand je commence à ouvrir les yeux mon infirmière préférée part à la recherche de ma bite qu’elle empoigne directement.

Je remarque rapidement que sa blouse est totalement ouverte et qu’aujourd’hui elle porte ni culotte ni string. Elle a aucun poil pubien. Alors qu’elle masse un peu plus énergiquement mon sexe qui a maintenant une belle taille, j’att son bras et je lui dis:
« Ce soir on va la jouer équitable, je vais aussi gouter à ton sexe! »
Elle remonte vers moi et m’embrasse mais cette fois elle fait rentrer sa langue dans ma bouche et danse avec la mienne.



Quand nos bouches se décollent, sans dire un mot elle monte tête bêche sur mon lit, elle empoigne ma bite et en même temps qu’elle se penche pour commencer à me sucer elle colle ses lèvres intimes contre ma bouche. Son sexe dégage une odeur que j’adore, ma langue parcourt sa chatte, écarte les grandes puis les petites lèvres et titille un peu son trou qui s’élargit. Pendant ce temps Christelle fait monter et descendre ses lèvres autour de mon sexe, parfois elle m’enserre encore plus et m’aspire alors que ses doigts se ballade sur mes couilles et mes fesses. Heureusement que je me suis pas fait opérer de la cuisse!

Ma langue remonte vers son clitoris, vu comme elle a réagit à mon doigt hier j’y vais franchement. Immédiatement Christelle recrache ma tige, dans un premier temps elle me branle un peu mais rapidement abandonne pour s’assoir complètement sur moi. Elle fait des mouvements de bassin pour frotter ses lèvres contre mon nez. Rapidement tout son corps se crispe puis elle pose, assez brutalement, ses mains sur mon torse et me plante ses ongles, assez court, sur moi. Au même moment je sens ses sphincters vaginaux se contracter contre mon visage trempé.

Quand sa jouissance redescend, j’essaye de la pencher un peu plus pour lui lécher le cul mais elle part dans l’autre sens et empale sa bouche sur ma tige toujours bien raide. Mon infirmière préférée reprend ses montées et descentes accompagnées de jeux de langues et de pressions surtout sur mon frein alors que ma langue repart à la conquêtes de ses lèvres intimes.

Rapidement j’enfonce un doigt en elle et une fois que je le sens assez humide, ce qui n’est pas long vu comme elle mouille, je le retire pour aller lui titiller l’oeillet avec. Elle semble apprécier l’intention puisqu’elle fait de grand mouvement pour faire encore plus pénétrer mon doigt entre ses fesses. Je le rentre par des petits mouvements au même rythme que ma langue rentre et sort de sa grotte de plus en plus inondée.
Son jus commence à couler sur mon visage, plus aucun doute Christelle est une femme fontaine.

Elle s’occupe à merveille de ma bite mais j’ai encore un peu de marge avant de jouir dans sa bouche. Maintenant que mon doigt tournoi dans son cul pour bien lui détendre la rondelle, ma langue s’occupe surtout de ses lèvres intimes car je dois aussi avaler toute la cyprine qui rempli ma bouche. J’ai l’impression que m’entendre déglutir l’excite encore plus. Je ne sais pas ce qu’elle est train de me faire avec ses doigts et sa bouche mais je ne vais plus tarder à jouir.

Sa rondelle est assez souple, je me dépêche d’y rentrer un deuxième doigt alors que mes lèvres et ma langue retourne sur son clito, je ferme bien les yeux. Mon nez est aspiré par ses lèvres intimes, je sens tout ses muscles se contracter sur mon visage mais aussi sur mes doigts. Alors qu’elle se déverse par filet sur mon corps, elle caresse son index sur mon trou du cul. Je n’en peux plus est explose dans sa bouche alors que mes fesses avale son doigt.

Ma tige est toujours dans sa bouche mais nous commençons à reprendre nos esprits. Elle me recrache et se dépêche de se lever, Christelle prend une serviette et éponge tout son jus sur mon corps. Bien qu’elle est déjà tout nettoyer avec sa bouche elle passe un gant humide sur mon sexe, c’est très agréable. Elle s’essuie entre les jambes et reboutonne entièrement sa blouse.

Elle colle sa bouche à la mienne, elle encore le goût de ma jouissance, nos langues dansent un moment puis nos lèvres se séparent. Elle garde son visage prêt du mien, me caresse la joue et me dit:
« Merci, j’ai adoré! »
Je soulève ma tête pour l’embrasser et je lui dis que moi aussi. Elle ajoute que je dois dormir et que demain elle fait encore une fois la nuit mais que c’est la dernière de la semaine parce que son mari râle!

Une fois la lumière éteinte je repense au moment que je viens de vivre, savoir que Christelle est mariée m’excite un peu plus et je m’endors avec qu’une seule idée en tête c’est de la baiser la nuit prochaine.


Le lendemain je me réveille heureux et je sens que ma queue est très tendue, quand j’ouvre les yeux je vois dans ma chambre la vieille infirmière mais aussi un homme en blouse blanche. Il assez grand, brun avec un regard très bleu et sourire qui dévoile de belle lèvres charnues. Il quitte ma chambre sans même m’avoir adresser la parole.

Un peu plus tard il revient seule dans ma chambre, il me donne mon traitement et me dit que c’est lui qui va me faire ma toilette aujourd’hui. En plus il m’informe que je vais pouvoir prendre une vraie douche. Cette idée me réjouit mais ça sera seulement pour cet après midi. Un peu plus tard on m’apporte mon plateau, aujourd’hui j’ai faim mais quand je vois le bouillon, le poisson blanc accompagné de ses légumes, le tout cuit à la vapeur… en plus il n’y a ni sel ni poivre alors je ne compte même pas sur une sauce.

Je mange un peu de poisson et de légumes mais c’est vraiment pas bon, je mange le pain pour me remplir et je finis par la poire. Mon téléphone bipe, c’est mon cousin qui m’informe qu’il passera me voir dans l’après midi. Je lui demande de me ramener quelque chose de normal à manger. C’est la vieille qui débarrasse mon plateau.

Je bouquine en attendant ma douche, il doit être plus de 15 heures quand l’infirmier rentre enfin dans ma chambre. Il pousse un fauteuil roulant un peut different des autres, il a beaucoup de plastique. Il m’aide à m’assoir sur le lit et m’installe sur le fauteuil qu’il a amené. Ca ne prend que quelques mots pour le dire mais ça à mis plus d’une demi heure à se faire. Je ne me suis assis sur mon lit que quelques fois depuis mon opération.

Ensuite nous allons dans la salle de bain, il tire le rideau de la douche et ouvrant sa veste, il me demande:
« J’espère que ça ne vous dérange pas mais comme je vais beaucoup me mouiller… »
Il retire complément son haut, il a énormément de peau qui pend. C’est un ancien gros qui a énormément maigri et du coup il a des amas de peau sur tout le corps.


Il protège mon mollet opéré avec du plastique autour duquel il pose des adhésifs. Il m’explique comment faire pour quand je serai plus à l’hôpital. A ce moment j’entends une voix familière dans la chambre, mon cousin vient d’arriver. L’infirmier se lève pour aller le prévenir que je fais la douche, il revient rapidement et me demande:
« Ca vous dérange si votre cousin assiste comme ça il verra comment vous aider pour quand vous serez chez lui. »
Je lui réponds qu’il n’y a pas de souci, il le fait rentrer et lui explique comment protéger la plaie.

Ensuite il revient vers moi, détache le noeud qui tient ma chemise de nuit alors que l’eau de la douche chauffe. Je suis complètement nu et il pousse le fauteuil sous le jet d’eau. Ca fait un bien fou, je profite de la cascade qui s’écoule sur moi. Quand j’ouvre les yeux je réalise que mon cousin est toujours dans la salle de bain. Son regard se bloque sur mon entrejambe alors que je ne bande pas.

L’infirmier éteint l’eau et commence à me savonner le corps avec un gant, à mon grand regret il n’est pas délicat ou sensuel quand il me lave le sexe ou les fesses. Je tourne la tête vers Stéphane qui est toujours la à nous regarder. J’essaye de voir s’il bande mais rien. Je profite encore de l’eau pendant quelques minutes après que je sois rincer et ensuite c’est la galère pour me sécher.

Quand j’enfile la chemise de nuit propre et que l’infirmier m’assoie sur un fauteuil roulant sec je remarque que mon cousin n’est plus là. Je mets encore un moment pour retourner dans le lit mais c’est quand même plus facile. Quand nous nous retrouvons seul, Stéphane ouvre son sac et me tend un sandwich en me disant:
« Je suis désolé il ne restait que ça mais c’est une excellente boulangerie. »

J’ouvre et je le droit à un simple jambon beurre, je me dépêche de mordre dedans et là je sens enfin du goût. Effectivement le pain est très bon, ça fait du bien de manger de la bonne nourriture, mais je n’arrive pas à avaler plus qu’un tiers du sandwich. Je le glisse dans le tiroir de ma table de nuit en me disant qu’il me servira si le plateau du soir est déguelasse.

Une fois que j’ai fini de manger je lui raconte ma nuit, avec un sourire aux lèvres il me dit qu’à ma sortie j’aurai le même genre de traitement avec sa copine l’infirmière. Il me raconte qu’il a eu une aventure avec lui pendant quelques temps. Qu’au lit c’est une vraie chaudière. Je suis ravi de l’apprendre.

On parle encore un peu de connerie mais il doit me quitter car il a promis à des potes d’aller prendre l’apéro avec eux et ils l’attendent déjà. Il essayera de passer me voir demain et me dit de ne pas m’inquiéter pour ma sortie que je m’installerai chez lui et qu’il s’occupera bien de moi.

J’attends avec impatience l’arrivée de Christelle maintenant que je suis seul. Je suis dessus que ça ne soit pas elle qui m’apporte mon plateau repas. Je me retrouve en face d’une nouvelle soupe, un morceau de poulet qui est encore plus blanc que la blouse de mon infirmière avec des petits pois carottes qui n’on aucun goût. Je finis le sandwich que Stéphane m’a amené et je laisse mon plateau intact.

La porte de ma chambre s’ouvre enfin sur Christelle qui comme à chaque fois me dit:
« Bonjour Mr Romain, comment vous allez aujourd’hui? »
Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle a vu mon plateau à peine touché et rajoute d’un ton énervé:
« Je t’ai dit que tu devais manger normalement! »
Je l’interromps, je vérifie que personne ne nous observe et j’ouvre le tiroir de ma table de nuit. Avec ma main de libre je l’attire vers moi et lui montre le papier du sandwich. Elle me sourit et me dit:
« Sauf que c’est pas très bon pour ta santé! »
Je lui réponds que peut être mais au moins que ça a du goût.

Nous nous embrassons furtivement et elle me dit qu’elle est arrivée en retard donc qu’elle est très speed mais que je ne m’inquiète pas elle viendra me voir dans la nuit, sa copine la couvrira. Quand je me retrouve seul je bouquine à nouveau, je suis assez souvent interrompu par les bruits du couloir ou l’autre infirmière qui m’apporte mon traitement. Comme la veille elle ressort de ma chambre avec un sourire de connivence.

Ce soir je m’endors plus facilement puisque je n’ai pas besoin de rester réveiller ni même de trouver une excuse pour faire venir Christelle dans ma chambre. J’ai quand même du mal à bien me reposer entre la douleur qui me lance de temps en temps, le bruit, la lumière, l’excitation… Au bout d’un moment je prends l’alarme, Christelle passe sa tête dans la porte et me demande inquiète:
« Il y a un problème? »
Je lui fais non de la tête alors elle rajoute:
« Alors ne sonne pas je viendrais moi! »
Juste avant qu’elle disparaisse, je lui dit que j’ai mal et que j’aimerai un calment.

C’est sa collègue qui revient une dizaine de minutes plus tard et me donne le cachet. Je finis enfin par m’endormir. Je suis réveillé deux fois par la lumière, la première c’est un médecin qui s’est trompé de chambre. La seconde c’est mon infirmière qui vient faire un relever des courbes. Avant de partir elle me dit de ne pas me rendormir car elle ne va pas tarder, je lutte mais je me rendors quand même.

Je suis tellement dans les vapes que je n’arrive pas à ouvrir les yeux, je sais que quelqu’un est dans ma chambre mais je le laisse faire et replonge. Ca remue sur mon lit, quelqu’un me touche, je puise toutes mes forces pour émerger et je vois un corps au dessus du mien en 69. Je reconnais immédiatement la chatte lisse de Christelle mais aussi ses coup de langue sur ma bite qui gonfle de plus en plus dans sa bouche.

Dès que je suis assez réveillé je me déchaîne d’abord sur ses grandes lèvres puis les petites et l’entrée de sa grotte qui dégouline déjà. Une fois qu’elle est assez ouverte je la fais basculer légèrement jusqu’à ce que son clito se retrouve entre mes lèvres. Je le pince et le tire délicatement, elle se met à gémir alors je lui rentre directement deux doigts. Je les fais pénétrer tout doucement et une fois qu’ils sont bien au fond je les fais tournoyer.

Pendant ce temps j’aspire son petit bouton dans ma bouche et je le titille du bout de la langue. Je la fais aller et venir de plus en plus vite puis je calme la cadence. Je lui donne quelques coups avec le dos de ma langue et je relâche la pression. Ma main est trempée et son précieux nectar coule déjà le long de mon bras et aussi directement sur mon visage.

J’ai envie d’encore une fois la faire jouir avec ma bouche et mes doigts alors je commence par en rentrer un troisième. Elle recrache mon sexe et gobe une de mes couilles pour les manifestations de son plaisir. Je fais passer d’abord ma langue sur son clito que je remonte jusqu’à mes doigts en plus je la fais immédiatement suivre par ma lèvre inférieure en mettant le plus de pression possible. Elle aime ça alors je recommence.

Mes doigts continuent de tourner en elle, je lui titille le point G avec mon majeur et mon index, j’appuies dessus pour encore plus appuyer avec ma langue et ma lèvre. Je sens ses dents autour de la couille qu’elle a dans la bouche, au début ça me surprend mais en fin de compte c’est très agréable. Je décide de moi aussi utiliser mes dents sur son petit bouton. Ca la fait immédiatement décoller, elle se relève et s’assoie sur mon visage pour profiter au maximum de sa jouissance.

J’avale le maximum de son élixir pendant que son con se caresse sur moi et que ma langue lui donne quelques soubresauts. Son entrejambe se décolle lentement de ma bouche, j’adore son sexe mais l’air frais me fait beaucoup de bien. Christelle ne perd pas un instant et glisse vers mes cuisses pour s’empaler directement sur ma queue qui n’attend que ça.

Elle s’assoie sur moi et commence à onduler du bassin pour faire s’entrechoquer nos sexes. Elle veut du calme mais moi non alors je l’att par la taille et je la fait monter jusqu’à ce que la base de champignon soit à l’entrée de sa grotte qui perle sur mes poils pubien. Je plante aussi sec sur mon pieu et je commence un mouvement d’aller retour assez rapide.

J’augmente la cadence, je sens que mon infirmière se caresse le clito et je ne suis pas content de rater ce spectacle. Je lui demande alors de se retourner, elle se lève et avec un jeu de jambe acrobatique je peux voir son visage, sa poitrine et son sexe qui continue de dégouliner sur moi. Elle fléchit les jambes et je lui lance un:
« Plus doucement! »
Elle s’exécute pendant que j’empoigne fermement ma bite pour qu’elle soit perpendiculaire à mon corps.

Quand mon gland est contre son sexe je lui ordonne d’arrêter et je bouge ma queue de bas en haut en ne manquant pas de lui bifler ses grandes lèvres et surtout son clito. Je vois ses jambes trembler alors je repositionne ma bite dans le bon angle et je lui lance un:
« Empale toi doucement! »
Elle descend très lentement, je sens bien mon gland perforer ses petites lèvres et pénétrer sa grotte centimètre après centimètre.

Une fois qu’elle est complètement assise sur moi je pose mon pouce sur son petit bouton que je triture fermement. Christelle se mord les lèvres pour ne pas gémir trop fort du coup pour augmenter son plaisir je contracte mon sexe dans le sien ce qui le fait se balancer légèrement. Malgré ses lèvres scellées je l’entends gémir alors j’augmente la pression avec mon doigt et lui ordonne de faire des petits mouvements de bas en haut très secs.

Pendant qu’elle obéi je varie les pression sur son clito mais sans jamais totalement relâcher. Elle aussi varie le rythme de ses mouvements qui ondule entre assez rapide et violent. Je vois ma belle infirmière les yeux fermés se concentrer sur son plaisir quand elle plaque encore plus ma main sur le haut de son mont de Venus. Elle se soulève pour me faire sortir.

Elle appuie encore plus fort sur ma main pendant que son autre main m’empoigne la tige pour la remettre dans sa grotte inondée. Christelle s’assoie violemment et complètement sur moi, elle ondule du bassin et me fait retirer mon pouce qui n’a pas quitté son clito un instant. Immédiatement un jet puissant sors de son petit bouton et vient me taper le menton.

Elle se relève, empoigne de nouveau ma queue, s’empale brutalement en triturant elle même son clito, elle ondule du bassin et au moment ou elle retire sa main une nouvelle giclée encore plus puissante sort. Elle recommence 3 fois le même scénario et à chaque fois elle éjacule d’entre le haut de ses grandes lèvres.

Une fois qu’elle est un peu calmée elle reprend les montées et descentes le long de ma queue en contractant régulièrement ses muscles vaginaux. De temps elle me fait sortir pour immédiatement me refaire rentrer. Même si elle vient de jouir une deuxième fois elle continue toujours autant de dégouliner.

Une de ses mains part derrière, j’espérais que ça soit pour me malaxer les couilles mais non. Pendant ce temps elle ondule du bassin en contractant sa chatte autour de ma tige. Au bout de quelques minutes sa main revient devant, elle me fait sortir et empoigne ma bite. Mais cette fois elle la dirige vers son petit trou.

Elle joue un moment avec mon gland sur sa rondelle bien ouverte, je sens des fois la tête la pénétrer. Puis elle s’immobilise avec ma queue entre ses fesses et commence à descendre tout doucement pour que je la sodomise. Une fois que mon gland est rentré elle fait coulisser le reste d’un coup sec puis reste un moment immobile.

Ensuite mon infirmière me fait rentrer et sortir tout doucement dans ses entrailles. Son cul et moins serré que ce que je pensais mais j’adore la sensation et surtout l’idée que tout à l’heure sa main la doigter. Elle va toujours aussi lentement quand on toque à la porte, je panique mais sans dire un mot elle augmente le rythme des vas et viens d’un coup.

Quand elle me dit de me laisser aller en se sodomisant vigoureusement sur moi je comprends que c’était un signal et je me détends tellement que même pas 3 minutes plus tard je sens les veines de ma queue gonfler en même temps que mes couilles se contractent. Je ne lâche je ne sais combien de jets pendant que Christelle continue de monter et descendre sur ma bite en contractant son cul.

Une fois qu’elle ne sent plus mon sexe palpiter dans ses entrailles elle s’assoie sur moi et se penche pour m’embrasser et me murmure:
« Je dois y aller, Nathalie a besoin de moi. Je te laisse de quoi nettoyer tout ça et je te changerai les draps demain matin. »
Elle m’embrasse à nouveau et se soulève pour me faire déculer. Dès que mon gland est sorti, d’entre ses fesses plusieurs filet très blancs tombent de son cul à ma bite. Elle rougit et me dit:
« Pour une fois ce n’est pas moi. »

Elle me donne des serviettes mouillées et d’autres sèches et me dit de tout laisser par terre. Pendant que je me nettoie je réalise que j’ai énormément giclé en plus il doit en rester dans son petit cul et peut être même que des gouttes sont entrain de couler le long de sa cuisse. Rien que d’avoir cette pensée je sens mon sexe regonfler.

Je me calme en finissant de me laver et je m’endors paisiblement heureux de cette dernier nuit avec Christelle…

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